In latinum dans le texte !
Hier, je n'ai pas adressé de message au monde avide d'en savoir un peu plus ... parce que j'étais occupé à donner génreusement des grosses baffes à ceux qui me gonflent un peu trop !
1) La banquière dont je vous avais indiqué qu'elle n'avait pas été très correcte. Elle s'est pris son fax qui n'est même pas un fax de la mort, il est juste un peu sec. Évidemment, elle m'a appelé feignant de ne pas comprendre pourquoi je lui avais écrit cela, ce qui n'était pas nécessaire puisqu'elle allait justement m'appeler ... C'est ça, prends moi pour un con aussi !Bref, je vous la fais courte (pour une fois ...), tout cela est une méprise et ce n'est pas la peine de rester sur un tel malentendu qu'elle va réparer. Nous aurions aussi pu en discuter de vive voix ... Et bla bla bla et bla bla bla ... Pour clore cette très intéressante discussion, elle s'est pris le titre de ce message : Les paroles s'envolent mais les écrits restent ! Je lui ai indiqué également que j'attendais de sa part qu'elle me réponde par écrit également dans la mesure où notre conversation téléphonique ne saurait en aucune manière valoir réponse à mon réquisitoire épistolaire de 2 pages.
2) L'assurance au sujet de laquelle je vous avais indiqué ne pas vouloir en rester là non plus. Là, c'est au téléphone que j'ai décidé compte tenu de la faiblesse suspecte des réponses qui me sont données que j'ai informé mon interlocutrice qu'elle allait recevoir un joli courrier auquel il allait falloir naturellement répondre et donc prendre enfin position par écrit cette fois ! Même motif, même punition : Les paroles s'envolent mais les écrits restent ! Curieusement, notre agréable mais insipide discussion en a été écourtée.
Voila ! Et c'est là un de mes conseils à vous, écrire vaut mieux que se contenter de jolies et mièvres paroles ...
Bien sur, je vous tiens au courant des développements futurs.
Il vous en prie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire