En ces périodes troublées, citons les grands auteurs ...
Où est passé le ciel de l'été? Elle avalé, la machine avalé
Et où est donc le mois de mai? Elle avalé, la machine avalé
Où est la gazelle qui courrait dans la prairie? Elle avalé, la machine avalé
Où est le garçon qui faisait rêver les filles? Elle avalé, la machine avalé
Et où est donc le mois de mai? Elle avalé, la machine avalé
Où est la gazelle qui courrait dans la prairie? Elle avalé, la machine avalé
Où est le garçon qui faisait rêver les filles? Elle avalé, la machine avalé
Où est passé l'oiseau blessé? Elle avalé, la machine avalé
Et où est l'homme qui chantait? Elle avalé, la machine avalé
Où est la rivière qui dansait dans la campagne? Elle avalé, la machine avalé
Où est le nuage qui enlaçait la montagne? Elle avalé, la machine avalé
Et où est l'homme qui chantait? Elle avalé, la machine avalé
Où est la rivière qui dansait dans la campagne? Elle avalé, la machine avalé
Où est le nuage qui enlaçait la montagne? Elle avalé, la machine avalé
Où est passé le poisson qui volait? Elle avalé, la machine avalé
Et où est l'arbre qui parlait? Elle avalé, la machine avalé
Où est le lion qui agite sa crinière? Elle avalé, la machine avalé
Où est le grand chef qui voulait toujours la guerre? Elle avalé, la machine avalé
Et où est l'arbre qui parlait? Elle avalé, la machine avalé
Où est le lion qui agite sa crinière? Elle avalé, la machine avalé
Où est le grand chef qui voulait toujours la guerre? Elle avalé, la machine avalé
Le refrain sonnait juste finalement ... Ouah, ouah, ouah, ouah, Ouha, ouha, ououahah. Ouha, ouah, ouah, ouah, Ouha, ouha, ououahah.
Ah le confinement, le retour de la revanche ... bah alors, ils sont où les crétins qui balançaient des photos dans des piscines bondées, sur des plages où les distances de sécurité étaient une option, ceux qui n'avaient rien trouvé de mieux que de faire accroire qu'ils étaient plus forts que le virus ? Ah bah oui, ce sont les mêmes qui ont retourné leur veste aujourd'hui en appelant à la prudence [au mieux] ou qui viennent nous donner des grandes leçons de libertés publiques.
Je te le dis tout net, je n'ai décemment pas le temps de m'occuper de ces trous-du-cul qui nous emmènent tous par le fond, j'ai un peu de travail pour essayer de maintenir un semblant d'activité. Hier soir, j'ai terminé une réunion de crise à 21h20, le compte-rendu en était finalisé à 21h45 et j'ai commencé mon dîner [cinq petites pizzettas ... parce que je n'ai pas eu le temps d'aller me ruer dans les magasins pour dévaliser je ne sais quoi avec toute l'inconséquence que cela suppose].
"Ouin ouin ... on peut pas sortir" entends-je donc ici et là ? Super ... autre chose de plus constructif et responsable ? Non parce qu'à se comporter comme un mioche mal élevé, pas étonnant que le gouvernement te traite ainsi. Le seul souci, c'est que des gens comme moi, qui font attention rigoureusement depuis mars dernier, s'en trouvent encore plus handicapés dans leur quotidien qui n'était déjà pas simple. Mais pas grave, les débiles qui sont bêtes à bouffer du foin vont continuer de déverser les considérations dispensables de leurs nombrils boursoufflés. J'ai décidé de ne pas y prêter attention ... je suis un peu trop avalé par la machine à laver, dont le programme essorage est reparti de plus belle depuis deux jours. Alors tes petits problèmes ...
Bon confinement à tout le monde. C'est reparti pour un tour ...
Tto, qui était prêt de toute façon
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