... c'est une chance que l'on n'aura jamais parce que chaque fois c'est pareil ! Chaque fois, tu commences simplement à prendre le rythme du wikende le dimanche soir vers 23h [quand tu n'es pas submergé par la déprime ou l'envie d'en finir irrémédiablement].
Tout est question de rythme et, pour radoter encore un coup, je te confirme que s'il y a bien quelque chose que j'exècre, ce sont bien les changements de rythme. En ce moment, je suis gâté avec le changement d'heure que je digère toujours aussi mal dans ce sens là plutôt que dans celui qui permet d'aller vers l'été. Donc oui ... j'appartiens à ceux qui se réveillent exactement à l'heure où ils émergent d'ordinaire pour aller bosser que l'on soit samedi ou encore dimanche. Oh certes, je fausse un peu le jeu en me couchant à des heures indues où tous les chats sont gris mais force est de constater qu'en ce moment, ils le sont vers 17h.
Oui, changer de rythme est horrible mais, au delà de cette considération nombriliste extrêmement capitale pour le devenir de l'humanité, cela n'est pas sans conséquences ... sur le sommeil.
Et peut-être es-tu comme moi : que c'est compliqué de s'endormir le dimanche soir !!!
Avant, j'avais pris pour habitude de veiller tard, de faire des folies de mon corps afin de m'épuiser un peu et que la grâce des endorphines me balayent. Et puis, j'en ai eu marre de ce systématisme. Du coup, je fais plaisir à Zolimari en essayant de venir me coucher avec lui et bim ... je mets des lustres à m'endormir parce que c'est précisément à ce moment là que tout te fonce dessus : ce que tu voulais faire le wikende et que tu n'as pas eu le temps de faire, ce que tu vas devoir faire et qui t'épouvante déjà ... sur tout e que tu aurais bien voulu faire mais que tu n'auras pas l'occasion de faire ... bref ! Les bonnes pensées de nuit qui font que tu tournes et te retournes inlassablement en regardant le temps passer et déjà tu anticipes un autre problème : le lundi sans sommeil.
Parce qu'au final, le souci n'est pas de tarder à s'endormir mais bien plus pragmatiquement, de démarrer une semaine [ce qui est déjà pénible] crevé en se disant qu'elle va être encore bien longue [non non, pas comme ta b...agnole] cette satanée semaine qui va ressembler à un lundi matin pendant cinq jours de chemin de croix. Le sommeil qui aurait pu être un allié salvateur [oui oui, comme Henri] te faisant défaut même partiellement, cela va rendre les choses encore plus compliquées comme s'il fallait qu'elles le soient davantage.
Et n'imagine pas que le confinement change quelque chose à l'histoire ... rien de rien.
Hier soir, je me suis donc couché en même temps que Zolimari et j'ai tourné, tourné ... jusqu'à m'endormir un peu plus tard en ayant essayé pourtant de ne pas penser à tout ce qui m'est arrivé depuis ce matin. Pas de chance, pas de surprise : c'était bien pénible, comme prévu. Une chance qu'on n'aura jamais ...
Tto, qui n'aime pas les dimanches et encore moins les ruptures de rythme
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